« Tout est résonance, tout est énergie, tout est vivant. »
Les informations de nos vies actuelles et passées sont accessibles, stockées dans le vaste
champ informationnel, un espace éthérique qui intègre les inconscients individuels et collectifs.
De merveilleuses pratiques permettent d’y accéder et d’obtenir des informations précieuses
pour se libérer d’entraves au moment juste pour chacun.
L’un des secrets dans la réparation, c’est la syntonisation dans la relation entre l’accompagné(e) et l’accompagnant : le principe de s’aligner sur la même fréquence dans l’Amour inconditionnel, sinon il n’y a pas d’échange.
« Ce ne sont pas des contenus qu’il faut transmettre. Les Dieux se rient de nos théories. C’est une manière intense d’être. Ce qui manque le plus à notre vie d’aujourd’hui, c’est cette intensité surgie de l’intérieur. C’est dans la rencontre de personnes vivantes qu’on en donne le goût. Chacun est dans une telle richesse ! Cette richesse demande à être réveillée. La transmission, c’est cette attention portée à un autre qui fait qu’en lui surgit le meilleur de lui-même. » Christiane Singer
L’acceptation du blocage, la libération énergétique et l’accueil des ressources se manifestent
par :
Avant toute pratique énergétique, l’ancrage est Essence-Ciel (essentiel) pour se relier à la Terre et au Cosmos.
Je commence systématiquement les pratiques par un ancrage.
Les pratiques de reliance ne se substituent pas à un traitement de médecine conventionnelle pour des pathologies identifiées.
« Ecoutez cette histoire véridique. Un groupe d’aborigènes australiens s’avançait un jour dans un paysage aride, en compagnie d’un ethnologue. Celui-ci, qui notait soigneusement tous leurs faits et gestes, remarqua que de temps en temps le groupe, composé d’hommes et de femmes, s’arrêtait un moment plus ou moins long. Ils ne s’arrêtaient ni pour manger, ni pour regarder quelque chose, ni pour s’asseoir ou se reposer. Simplement ils s’arrêtaient. L’ethnologue, après deux ou trois arrêts, leur en demanda les raisons. “C’est très simple, répondirent-ils, nous attendons nos âmes.”
L’ethnologue demanda quelques explications supplémentaires. Il comprit ainsi que, de temps à autre, les âmes s’arrêtaient en chemin pour regarder, ou sentir, ou écouter quelque chose qui échappait aux corps. C’est pourquoi, alors que les corps continuaient à marcher, les âmes s’arrêtaient quelque fois pendant une heure. Il fallait les attendre.
Nos âmes ont des besoins invisibles pour les yeux du corps. Elles se nourrissent de la beauté du monde, du chant d’un oiseau, de quelques notes de musique, d’un rayon de soleil sur la neige. Elles se nourrissent de connaissance, d’études, de savoir. Elles se nourrissent de relations aimantes, d’échanges désintéressés, de communion avec tout être vivant, de don de soi. Elles se nourrissent de partage, de justice, de fraternité. C’est pourquoi l’être humain doit reconnaître, nourrir, utiliser et faire grandir les deux organes spirituels qui lui sont propres : le cœur et l’intelligence.»
— Frédéric Lenoir, l’âme du monde